À pied :
Le mode de déplacement le plus durable, avec des émissions indirectes très faibles de 2-5 g CO2/km, provenant principalement de l’énergie corporelle générée.
En trottinette :
Une solution simple et légère pour les trajets courts, avec des émissions totales de 4 g CO2/km ainsi que les émissions liées à la fabrication. Idéale pour des déplacements ponctuels, sans impact direct.
En vélo :
L’une des options les plus durables avec seulement 5 g CO2/km dû à la production du vélo. Idéal pour les trajets urbains courts, sans émissions directes et avec des bénéfices pour la santé.
En vélo électrique :
Une alternative pratique et écologique pour les trajets plus longs, avec des émissions totales modestes de 10 g CO2/km liées à la production et à la recharge de la batterie.
En trottinette électrique :
Une option moderne et légère pour les déplacements urbains, avec des émissions totales de 12 g CO2/km dû principalement à la fabrication et à la recharge des batteries. Plus écologique qu’un scooter, mais légèrement moins qu’un vélo électrique.
En bus électrique :
Une excellente solution pour le transport collectif, avec seulement 15 g CO2/km. Cependant, comme pour le bus thermique, son efficacité dépend du taux d’occupation. Un bus bien rempli est extrêmement écologique.
En scooter électrique :
Un moyen de transport urbain pratique avec des émissions indirectes faibles, à seulement 20 g CO2/km dû à la fabrication et à la recharge des batteries. Beaucoup plus écologique qu’un scooter thermique.
En moto électrique :
Une alternative écologique aux motos thermiques, avec des émissions totales de 30 g CO2/km dû à la production et à la recharge des batteries. Idéal pour les trajets plus longs nécessitant davantage de puissance.
En voiture électrique :
Bien plus écologique que la voiture thermique, avec des émissions totales réduites de 20 à 50 g CO2/km dû principalement à la production et à la recharge des batteries. Cependant, son efficacité dépend du mix énergétique local et de la taille de la batterie.
En scooter thermique :
Relativement peu polluant comparé à une voiture thermique, avec 72 g CO2/km. Pratique pour les trajets courts, mais toujours dépendant des carburants fossiles.
En moto thermique :
Émissions élevées de 110 g CO2/km, moins qu’une voiture thermique mais plus qu’un scooter. Une option peu écologique pour un déplacement individuel.
En véhicule hybride :
Une option intermédiaire, avec des émissions directes réduites de 90-120 g CO2/km par rapport à la voiture thermique. Idéal pour des déplacements en ville avec une conduite optimisée pour l’électrique, mais moins performante sur autoroute.
En bus thermique :
Une solution de transport collectif moins efficace que les alternatives électriques, avec des émissions élevées de 100 à 130 g CO2/km. Le taux d’occupation influence fortement son empreinte écologique : un bus plein reste plus efficace que des voitures individuelles, mais un bus vide perd cet avantage.
En voiture thermique :
Très polluante pour de courtes distances, surtout lorsqu’elle est utilisée par une seule personne. Avec 192 g CO2/km, elle est la moins écologique des options motorisées.